No woman no cry
Bon. Aujourd’hui j’ai un souci de conscience : le problème d’un blog c’est qu’il est lu. Et oui, parfois je préférerais que ma prose se perde dans le world wide web… Pour pouvoir écrire ce que je veux, sans avoir l’impression de raconter la vie des autres lorsqu’elle celle-ci croise la mienne…
A fortiori quand j’ai envie d’écrire sur des gens de mon entourage proche.
Je sais. Vous allez me dire que je pourrais écrire sur un journal perso, et surtout, offline. Et bien figurez-vous que l’ai déjà fait. Mais c’est pas assez cathartique. Cela dit, je crains qu’évoquer vaguement le truc sur le blog ne sera pas plus utile.
Enfin bon, tout ça pour dire que parfois la vie c’est compliqué.
Un soir on sort dans un lieu chouette, on voit des courts-métrages sympas, on boit un peu, on rencontre une fille, ça se passe bien.
Et puis deux jour après on fait un apéro, on boit un peu plus, et puis là, out of nowhere on dit de la merde pendant plus d’une heure à quelqu’un, créant ensuite une situation relativement embarrassante.
Heureusement que la fille du bar est super. Que j’ai des bons amis. Et que la ma version 2.1 est plus à même de gérer les choses (expliquer) avec l’autre personne. Enfin. J’espère.