Toi, vois ce que tu es.
Car nécessairement vient le feu.
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Toi, vois ce que tu es.
Car nécessairement vient le feu.
Rien dans le monde réel n’est aussi beau que les illusions d’un homme sur le point de perdre conscience.
Le bruit mat des glaçons qui s’entrechoquaient me réjouit.
Je ne lisais plus beaucoup à Paris. Testament à l’anglaise de Jonathan Coe est mon grand retour à la fiction.